Comme en 1954, le moyen le plus rapide -et d'après les témoignages le plus confortable- pour se rendre à Dien Bien Phu à partir d'Hanoï est l'avion. Il va sans dire que les conditions du voyage se sont depuis grandement améliorées, ne serait-ce que parce que les ATR-72 ont remplacé les Dakota. Les paysages survolés n'ont sans doute pas tant changé que cela -pylônes électriques mis à part- et la fameuse "piste d'aviation", dont la mise hors service a scellé le sort du camp retranché, est toujours là, dorénavant "en dur". Mais dès la sortie de l'aérogare on constate qu'une vraie ville a pris la suite du petit village thaï sacrifié lors de l'établissement de la garnison française et annihilé au cours de la bataille.
samedi 11 avril 2009
Aéroport (code AITA : DIN)
Comme en 1954, le moyen le plus rapide -et d'après les témoignages le plus confortable- pour se rendre à Dien Bien Phu à partir d'Hanoï est l'avion. Il va sans dire que les conditions du voyage se sont depuis grandement améliorées, ne serait-ce que parce que les ATR-72 ont remplacé les Dakota. Les paysages survolés n'ont sans doute pas tant changé que cela -pylônes électriques mis à part- et la fameuse "piste d'aviation", dont la mise hors service a scellé le sort du camp retranché, est toujours là, dorénavant "en dur". Mais dès la sortie de l'aérogare on constate qu'une vraie ville a pris la suite du petit village thaï sacrifié lors de l'établissement de la garnison française et annihilé au cours de la bataille.
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